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Déclaration de patrimoine et corruption : Macky Sall conseille des garde-fous

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iGFM – (Dakar) «Il est impératif que des garde-fous soient érigés, que l’exercice du pouvoir public soit accompagné par la mise en place de règles de transparence et de codes de conduite auxquels les agents publics devront se soumettre», a prévenu lundi 26 mai le président Macky Sall dans son discours d’ouverture de la Conférence régionale sur les déclarations de patrimoines pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre qui se tient dans la capitale sénégalaise jusqu’au 28 mai.

Après avoir procédé à l’exercice de déclaration de patrimoine, à son arrivée au pouvoir le 25 mars 2012, le Président Sall a lancé la traque des biens mal acquis au cours de laquelle plusieurs personnalités sous le régime du Président Wade dont son fils Karim Wade, ont été emprisonnées. Rappelant «l’importance» et «l’actualité» du thème de cette conférence de Dakar, Macky Sall a repris les conférenciers en soutenant que la corruption «ruine» les efforts de développement et «fragilise» les institutions des Etats.

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La drogue et la corruption sont de connivence et agissent en étroite collaboration avec des complices internes insoupçonnés.

« Dans le trafic d’idées comme dans le trafic de drogue, on punit l’usager sans toucher au dealer » (Guy Bedos)

Quand la drogue, ce pendant naturel de la corruption, se répand si vastement et s’ancre en profondeur dans un PPTE, c’est une véritable catastrophe qui s’implante au sein de la population, particulièrement jeune. Elle nuit sérieusement à la bonne marche de l’économie nationale et  détruit la santé publique en général. C’est au demeurant d’autant plus grave, si  de surcroit, c’est encore dans le cas d’un pays vulnérable comme le Sénégal, où les frontières sont si poreuses et perméables à nulle autre pareille, qui permettent facilement l’entrée massive de la drogue et aussi des dealers, qui nous viennent des pays africains voisins et même d’ailleurs.

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La diminution du train de vie de l’Etat appelle une gestion rationnelle et efficiente de ses biens et l’éradication de la corruption.

Il est heureux d’entendre pour une fois, en tout cas, du Chef de l’Etat du Sénégal, reconnaitre publiquement, que la corruption existe chez-nous. Et non seulement cela, mais qu’elle est effectivement présente dans tous  les rouages de l’Administration et de notre société. Ceci est une vérité irréfutable, et il ne servirait à rien de vouloir l’occulter, puisqu’elle gangrène notre économie nationale. Elle fonde chez les investisseurs, une raison valable de suspicion  à l’égard de nos institutions, sur leur sériosité. Alors, c’est tout de même encourageant que le Chef de l’Etat, officiellement lui déclare la guerre sans ambages, et appelle aussi tous les citoyens à dénoncer et combattre toutes formes de corruption d’où qu’elles viennent, et quels que soient par ailleurs leurs auteurs. C’est une déclaration qui, si elle est  suivie effectivement d’application, pourrait bien aider à assainir nos vilaines mœurs en cours dans l’Administration, la société en général et valoir plus de confiance à notre pays.

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Promotion de la bonne gouvernance : Une campagne nationale d’information sur les coûts de la corruption lancée

L’Observatoire des organisations non étatiques pour la lutte contre la non-transparence, la corruption et la concussion (Oanel 2c), en partenariat avec le ministère de la Promotion de la  Bonne gouvernance  et avec l’appui du  Programme gouvernance et paix (Pgp) de l’Usaid, a procédé, hier, au lancement d’une campagne nationale d’information sur les coûts de la corruption. La cérémonie a été présidée par le ministre de la Promotion de la bonne gouvernance,  Abdou Latif Coulibaly.

Pour une lutte efficace contre la corruption, l’Observatoire des organisations non étatiques pour la lutte contre la non-transparence, la corruption et la concussion (Oanel 2c), en partenariat avec le ministère de la Promotion de la bonne gouvernance et avec l’appui du  Programme gouvernance et paix (Pgp) de l’Usaid, a lancé une campagne nationale d’information sur les coûts de la corruption.

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Police sénégalaise : accusée de corruption, d'abus de pouvoir, de connivence avec des dealers : chronique d'un corps en décadence...

PICCMI.COM- Autrefois citée en exemple, la police fait face ,aujourd’hui, à un affaiblissement invétéré. Les forces de l’ordre sont, depuis quelques temps, constamment cités dans des histoires plus rocambolesques les unes des autres.

Qui gamin, n’a pas rêvé de devenir un jour flic ? Ce corps de métier inspirait le respect et imposait crainte et dévouement. Mus dans un silence légendaire, les forces de l’ordre se contentaient de rabattre un travail essentiel, pour assurer la sécurité des personnes et des biens. Plus qu’une passion, remplir cette mission relevait d’un sacerdoce. Ce temps où les forces de l’ordre imposaient enthousiasme est-il révolu ? 
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Mise en œuvre du Pse : Macky pour le travail et contre la corruption

Le pari de la mobilisation de fonds gagné, le Sénégal fait maintenant face à un nouveau défi, celui du mérite de la confiance placé en lui par les bailleurs qui ont accepté de financer les projets du Plan Sénégal émergent (Pse). Ainsi, Macky Sall ne compte plus tolérer certaines pratiques de corruption et de laxisme. Il appelle ainsi toutes les composantes de la Nation à un sursaut individuel et collectif.

Le président de le République n’a pas passé près de dix jours à convaincre les investisseurs pour ensuite venir voir ses efforts annihiler par le laxisme de ses compatriotes. 

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Mali- Lutte contre la corruption : Des hommes d’affaires interdits de sortir du pays

Profitant de la présentation de  ses vœux aux Maliens, le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, a annoncé que 2014 serait l’année de la lutte contre la corruption. Depuis décembre, une centaine de dossiers sont déjà devant le juge, et les auditions de nombreux cadres et personnalités ont commencé.

 

Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Mohamed A Bathily et le Président de la République

Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Mohamed A Bathily et le Président de la République

Selon des sources proches du pole économique, depuis jeudi, des hommes d’affaires  ont été interdits de  sortir du territoire national.

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«Les classements du Sénégal sur les instruments de mesure de la corruption se sont améliorés du seul fait de la peur générée par la traque»

«Les classements du Sénégal sur les instruments de mesure de la corruption se sont améliorés du seul fait de la peur générée par la traque»

L'OBS - Dans cet entretien, Mouhamadou Mbodj, coordonnateur du Forum civil fait une analyse sans complaisance de l’état de la corruption au Sénégal qui connaît un léger mieux depuis le lancement de la traque des biens mal acquis prôné par le régime actuel. De l’Ofnac aux marchés de gré à gré en passant par la révélation du journaliste Cheikh Yérim Seck sur un supposé financement alloué aux leaders de Benno Bokk Yaakaar par le président de la République, rien n’échappe à l’œil critique du «gardien» de la transparence et de l’impunité au Sénégal.  

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KAOLACK/ RAPPORT SUR LA CORRUPTION PASSIVE ET ACTIVE Le Sénégal toujours dans la zone rouge

 

Malgré les multiples performances concédées l’an passé en matière de lutte contre la corruption passive et active, et qui ont d’ailleurs permis à notre pays de faire un bon de cinq  points, selon les derniers résultats de l’indice de la corruption fournis par « Transparency International » en Afrique et dans le Monde.

Une situation qui inquiète de plus en plus les autorités, mais surtout les organisations de lutte contre cette pratique néfaste assimilée aujourd’hui à un fléau national.

Ainsi devant une telle problématique, et le besoin de réduire ce fléau à la plus faible échelle, le centre de gouvernance participative (CGP) en partenariat avec la section locale du forum civile a tenu hier Jeudi , à Kaolack, un panel sous le thème: « l’indice de la corruption au Sénégal ».

Cette rencontre avait deux objectifs majeurs. D’abord présenter au public de Kaolack les derniers résultats de l’indice de la corruption fournis par « Transparency International » en Afrique et dans le Monde. Ensuite sensibiliser et vulgariser ce rapport d’informations afin que le public puisse s’approprier de la question et rejoindre prochainement la dynamique unitaire que le centre de gouvernance participative entend mettre sur pieds pour mieux investir le terrain.

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SÉDHIOU : GUEGUERRE ENTRE ENTREPRENEURS ET TACHERONS Des tirs croisés à balles de corruption

 

Les entrepreneurs de la région de Sédhiou ont tenu séparément leurs assemblées générale hier dimanche, en fonction de leur appartenance à l'une des deux structures en présence. L'Union des Entrepreneurs était à l'hôtel de ville et a dénoncé des collègues défaillants aux marchés soumissionnés en Casamance au motif de l'insécurité. Ceux regroupés à l'école Dembo Coly ont dénoncé de leur côté une corruption massive dans les passations de marchés. La polémique enfle et fait croire des manœuvres dénudées de toute transparence.

 

L’Union des Entrepreneurs de Sédhiou a renouvelé sa confiance à Ousmane Diaïté à la tête de ladite structure après un état des lieux validé par acclamation. C’était à l’occasion de leur assemblée générale ordinaire. Parmi les priorités déclinées, la participation citoyenne des entrepreneurs de Sédhiou à la construction de la région. Ils ont, sous ce même rapport dénoncé ceux qui soumissionnent des marchés en Casamance sans jamais les achever au motif d’une insécurité. 

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Installation des membres de l’OFNAC : La lutte contre la corruption, une condition du développement, selon Macky Sall

Les douze membres de l'Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) ont été installés, hier, dans leurs fonctions par le président de la République. Occasion pour Macky Sall de souligner que la lutte contre la corruption est une « nécessité sociale » mais surtout une « condition du développement ».

Après leur prestation de serment devant la Cour d’appel de Dakar, les 12 membres de l’Office national de lutte contre la corruption (Ofnac) ont été officiellement installés, hier au Palais de la République, par le président Macky Sall. Devant un parterre de personnalités dont le président de l’Assemblée, le Premier ministre, la présidente du Conseil économique, social et environnemental, des membres du gouvernement, des chefs de mission diplomatiques, des partenaires techniques et financiers, le chef de l’Etat a soutenu que la lutte contre la corruption est « une exigence éthique », avant d’être un « impératif démocratique ». 

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Mali-Guerre contre la corruption et la délinquance financière : Sur instruction d’IBK, le PM passe à l’offensive

PM«Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Kéïta, a fait de la lutte contre la corruption un des axes forts de son programme. Il a déclaré la guerre à la corruption et a décrété à cet effet l’année 2014, année de lutte contre la corruption. Le Gouvernement s’est doté d’un programme d’actions pour la période 2013-2018 qui vise à prendre en charge les priorités du président de la République. Ce programme a comme axe premier la mise en place d’institutions fortes et crédibles».

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Affaire Ségura : Bennoo saisit la Commission de lutte contre la corruption

A la Commission nationale de lutte contre la non-transparence, la corruption et la concussion où ils ont porté le dossier relatif à l’affaire Ségura, Amath Dansokhho et Cie demandent l’audition d’Abdoulaye Wade, de son Aide Camp, d’Alex Segura et de Valeria Fichera, remplaçante de M. Segura.

La Coalition Bennoo Siggil Senegaal n’a pas encore tourné la page de l’affaire relative à la tentative de corruption d’Alex Ségura. Dans une lettre en date du 11 février 2010 adressée, à cet effet, au président de la Commission nationale de lutte contre la non transparence, la corruption et la concussion, les leaders de Bennoo Siggil Senegaal demandent l’audition des personnalités citées dans cette affaire. Il s’agit, lit-on, dans la lettre, ‘du président Abdoulaye Wade, de son aide de camp, le Colonel Bara Cissokho, d’Alex Ségura lui-même, présentement en poste à Washington et de Valeria Fichera représentant président du Fmi à Dakar’. Amath Dansokho et Cie de rappeler dans leur lettre les faits qui remontent au 25 Septembre 2009. ‘(…) Monsieur Alex Ségura, représentant résident du Fonds monétaire international, en poste à Dakar depuis 3 ans, et sur le point de quitter le Sénégal, était l’hôte à dîner du président de la République.
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