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Pape Diop sur le Wax waxeet de Macky : « Il est coutumier des faits et il a trahi les Sénégalais »

 

Publié dans News
dimanche, 21 février 2016 00:00

Légalement justifiable, moralement inacceptable !

   Il l’a promis, réitéré neuf fois, souvent, dans des moments empreints de solennité (présentations des vœux de nouvel an ou fêtes de l’indépendance) mais aussi dans des meetings politiques et autres interviews d’ici ou/et d’ailleurs.  Mais, il n’a pas respecté sa parole. Macky Sall a décidé de suivre l’avis du Conseil constitutionnel, qui s’oppose à la réduction de son mandat en cours.   

Convenons en tous, légalement le président de la République est irréprochable, inattaquable dans sa volonté de respecter les institutions de notre pays. Qu’il s’agisse d’un avis ou d’une décision, Macky Sall aurait du mal à refuser de prendre en compte le point de vue du Conseil Constitutionnel.
Publié dans News

Parmi la pluie de réaction suite à l'annonce de l'avis du Conseil constitutionnel, le coordonnateur du M23 a donné sa lecture de la décision du président de la République. Mamadou Mbodj se dit déçu de voire que Macky Sall n'a pas tenu sa promesse de campagne. "Je suis déçu de constater que le "wax waxeet" triomphe encore. Désolé de voir que le Président n'a pu se hisser à la hauteur des attentes historiques, c'est-à-dire mettre le pays à un niveau de démocratie d'exception au niveau de l'Afrique. Parce qu'un pays où le Président réduit son mandat, c'est quand même, important. Et ce n'est pas le cas", martèle-t-il. 

Publié dans News

Sénégal   « Le mandat en cours du président de la République connaitra son terme en 2019 ». Voilà le grand enseignement issu de la déclaration du chef de l’Etat Macky Sall qui se prononçait hier, mardi 16 février, sur l’Avis du Conseil constitutionnel relatif à son projet de révision constitutionnelle. Refusant de ramer à contre-courant de ce qu’il a appelé Décision du Conseil constitutionnel, et contre l’avis de presque tous les constitutionnalistes qui ont attesté urbi et orbi que l’avis des Cinq Sages ne le liait pas, Macky Sall a choisi de « tronquer» son engagement de réduire le mandat en cours et de boucler son septennat. Non sans fixer la date du référendum (enfin retenue pour le 20 mars prochain) et d’inviter les Sénégalais à voter Oui à ladite consultation populaire.

Publié dans La Une de la Presse

La loi est dure mais c’est la loi (dura lex sed lex) 
Tout le monde est d’avis que le Sénégal est un Etat de Droit, c’est à dire un Etat qui a décidé de se soumettre volontairement au Droit et à la Loi. 
Dans un tel Etat, le premier à devoir le faire c’est le Président de la République. 
  
En décidant de soumettre au Peuple un projet de révision constitutionnelle, conformément aux dispositions de l’Article 51 de la Constitution, la saisine du Conseil Constitutionnel était incontournable

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Aly Daouda Silate Kâ dénonce la gestion de l’Apr de Linguère par Aly Ngouille Ndiaye. Ce membre de la Convergence des cadres républicains (Ccr) alerte également sur des pratiques de gestion en cours similaires à celles qui avaient été à l’origine des sanctions contre le régime de Wade.

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Cinq (05) décennies de vie constitutionnelle ont permis à notre pays de mettre à jour ses mécanismes institutionnels essentiels à la pratique républicaine. 
En effet, durant plus de cinquante (50) années, les différents ressorts du jeu politique interne, quoique souvent teintés, naturellement, de tensions, mais sans débordements tragiques, ont pu témoigner de 
la solidité à toute épreuve de notre ordonnancement institutionnel. Pendant ces moments, coïncidant avec une re-sacralisation sans précédent des droits et libertés humains, la vivacité des dynamiques citoyennes sénégalaises, sans cesse entretenue par les régimes successifs, a administré la preuve que l’Etat de droit est bien une réalité au Sénégal. 
Publié dans News

Gambia  

Le projet de révision constitutionnelle en 15 points proposé par le Président Macky Sall est diversement apprécié par les partis de gauche qui semblent émettre moult sons de cloche sur la question. Au niveau de la Ligue démocratique et d’And-Jef version Landing Savané, les propositions du Chef de l’Etat peuvent ainsi tenir la route. Même si, selon le porte-parole des Jallarbistes Moussa Sarr, «Tout ce que nous avions souhaité, à travers les Assises, n’est pas et ne peut pas se retrouver dans les mesures annoncées».   

Pour ces deux partis par ailleurs, les mesures du chef de l’Etat nécessitent tout de même «un consensus fort», bâti autour de « la concertation, du dialogue, de l’inclusion de toutes les forces vives de la Nation », d’après Fallou Sarr, le porte-parole d’Aj/Pads-A. Ces positions «conciliatrices» se retrouvent pourtant en porte à faux avec celles du Rnd et du Front national de salut public «Mom sa rew». 
Publié dans La Une de la Presse

  Le débat suscité par l’allocution du Président de la République le 31 décembre à propos du référendum qu’il envisage d’organiser pour réduire son mandat de 7 à 5 ans nous interpelle en tant que juriste et Président du Réseau des observateurs citoyens (RESOCIT) et du Collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE) et nous commande d’apporter un éclairage sur les deux points de droit que soulève la mise en œuvre  du référendum en question. Il s’agit de la voie que le Président a choisi d’emprunter pour le référendum et la valeur juridique de l’avis du conseil constitutionnel dans l’hypothèse où il serait considéré par le Président de la République.  

Publié dans POLITIQUE