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Macky sur l'envoi de troupes en Arabie Saoudite : " J’ai décidé (…) il n'y a pas débat!"
DAKARACTU.COM De retour d’Accra (Ghana), il devait faire une déclaration à sa descente d’avion, mais finalement le président Macky Sall a dû improviser une mini-conférence de presse, lors de laquelle, il a déclaré qu’en tant que chef suprême des Armées, il a décidé d’envoyer les militaires en Arabie Saoudite. « J’ai décidé (…) il n'y a pas débat! »
Présidentielle 2017-Idy en roue libre, Karim et Khalifa sall en embuscade Macky, seul contre tous
A moins de 20 mois de la présidentielle de 2017, le paysage politique sénégalais bruit de toutes ses forces avec des prétendants au fauteuil présidentiel déterminés à bouter hors du palais l’actuel locataire, en l’occurrence Macky Sall. Et même si tous les masques ne sont pas apparemment tombés, certaines candidatures peinent de plus en plus à cheminer dans l’ombre. En face de Macky Sall qui cherche à briguer un second mandat à la tête de l’Etat sénégalais, un trio de quinquas semble émerger progressivement, sous la houlette d’Idrissa Seck de Rewmi qui s’évertue, avec ses tournées nationales et sa rhétorique anti-Macky, à ré-oxygéner une opposition en mal de repères, dans sa conquête du pouvoir.
Macky Sall sur la dépénalisation des délits de presse «on ne peut pas punir une certaine catégorie de personnes et privilégier d’autres»
«Un vrai problème». C’est ainsi que le Président de la République, a qualifié la problématique la dépénalisation des délits de presse, car, estime-t-il, on ne peut pas punir une certaine catégorie de personnes et privilégier les journalistes. Macky Sall a tenu ce discours lors de la remise du rapport annuel du Conseil national de régulation de l’audiovisuel, hier, mardi 12 mai.
Alliance contre nature entre le Ps et l’apr chronique d’un divorce inéluctable
Les invectives de part et d’autres des partis alliés dans le cadre de la coalition Benno Bokk Yakaar (Bby), notamment le Parti socialiste (Ps) et l’Alliance pour la République (Apr), montrent à satiété que le compagnonnage des deux formations politiques ne tient que sur un petit bout de fil. Même si le chef de l’Etat, Macky Sall, soutient que ladite coalition se porte bien, il n’en demeure pas moins que les sorties tout azimut et les divergences de positions de certains leaders de ces partis sur la transhumance, le respect de l’engagement de Macky sur la réduction du mandat, tout comme l’emprunt obligataire bloqué, sans oublier la candidature à l’élection présidentielle prochaine, laissent entrevoir un divorce inéluctable sous peu.
Affaire Me Amadou Sall : Laurent Fabius saisi interpellé par des avocats français
Selon La Lettre Du Continent, dans une lettre datée du 18 mars et adressée au ministre français des Affaires Etrangères, le bâtonnier de l’Ordre des avocats de Paris, Pierre-Olivier Sur, et l’ancien bâtonnier Jean-René Farthouat tentent d'attirer l'attention de Laurent Fabius sur la situation de leur confrère sénégalais, Me El Hadji Amadou Sall.
Dans la lettre, nos confrères de La Lettre Du Continent révèlent que les avocats français souhaitent que leur ministre des Affaires Etrangères entreprenne des démarches pour régler cette situation qui commence à durer.
DÉBAT SUR LA RÉVISION CONSTITUTIONNELLE Macky, le mandat et le référendum..
Selon Abdou Mbow…
Prenant part à la rencontre des jeunesses républicaines en sa qualité de Coordonnateur national sortant, Abdou Mbow a incité ses camarades de la Cojer à mouiller le maillot pour que SMS puisse être réélu dès le 1er tour. «Ce qui nous attend est plus difficile. Le président le dit souvent : 2ème tour ‘jigul’ (ne réussit pas au) président. C’est ça la réalité. Nous sommes au (Sunugaal) et pour être élu, il faudrait avoir une jeunesse forte, une jeunesse engagée et une jeunesse debout, parce que 70% de la population a moins de 35 ans. Et aujourd’hui, on doit travailler à inscrire le maximum d’électeurs», a dit Abdou Mbow, porte-parole adjoint de l’Apr.
MAME LESS CAMARA, JOURNALISTE, ANALYSTE POLITIQUE «IL N’Y A PAS DE RABIOT DANS UN MANDAT DÉMOCRATIQUE»
Le débat sur la réduction du mandat du président de la République de sept à cinq occupe le devant de l’actualité politique sénégalaise. Si Moustapha Cissé Lô et Jean Paul Dias sont les plus constants dans la défense d’un septennat, nonobstant la volonté solennellement exprimée, répétée et réaffirmée de Macky Sall, la sortie du ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l'Aménagement du territoire, porte-Parole du Gouvernement, Oumar Youm, lui donne plus de tonus. Si le dédit semble très peu probable, l’APR, avec la bénédiction de son président Macky Sall, n’écarterait pas l’idée de battre campagne pour le NON. Une hypothèse qui serait sans conséquences, selon Mame Less Camara. Dans un entretien accordé à Sud Quotidien, le journaliste, formateur, analyste politique, est formel. «Il n’y a pas de rabiot dans un mandat démocratique», déclare-t-il, en précisant que «la réduction du mandat est un problème d’honneur» auquel le Chef de l’Etat est contraint de se plier, s’il ne veut pas ruiner ses chances de second mandat.
Sénégal - Karim Wade candidat du Pds pour la présidentielle de 2017
Le bureau politique du Parti démocratique sénégalais (Pds), transformé en congrès extraordinaire ce samedi, a porté son choix sur Karim Wade pour représenter le parti à la présidentielle de 2017.
Bourgi, commandeur de l’ordre du Lion : Macky décore «Tonton» Robert
L’élévation hier de l’avocat Robert Bourgi, rendu célébre par Karim Wade qui l’avait appelé «Tonton» après les émeutes du 27 juin 2011, au grade de commandeur de l’ordre national du Lion soulève des interrogations. Cette décoration «tardive» - Bourgi ayant été «fait commandeur en 1999 par le Président de l’époque, Abdou Diouf» - pousse à se demander les raisons de l’effectivité de cette cérémonie sous le magistère du Président Macky Sall.