Afficher les éléments par tag : Violence politique
La une de SUD QUOTIDIEN -SCAT URBAM Aminata Touré appelle à la mobilisation dans la non violence
Aminata Touré, qui a procédé à l’ouverture de sa campagne à Scat Urbam, a appelé ses partisans à œuvrer pour la victoire dans la non violence. En effet, la tête de liste majoritaire de la coalition Benno Bokk Yaakar, qui dit ne se préoccuper que de Grand Yoff, appelle ses partisans à se battre par les idées pour faire sortir leur commune de sa léthargie.
La Une de l'AS - Démarrage de la campagne électorale pour les locales, ça s’emballe déjà !
Maty 3 Pommes
Notre consoeur Maty 3 Pommes est toujours en garde à vue dans les locaux de la Section recherches de la gendarmerie de Colobane. C’est en principe aujourd’hui qu’elle sera déférée devant le procureur de la république. Mais tout porte à croire qu’il y aura une médiation pénale afin de lui éviter la prison. déjà, certains de ses proches se sont rapprochés de l’avocat de la victime pour proposer de rembourser. C’est ainsi qu’ils ont dit à l’avocat qu’ils avaient 3 millions par devers eux et qu’aujourd’hui lundi ils trouveraient 2 autres millions. Ce qui fera 5 millions de francs Cfa.
Violence pré-électorales à Grand –Yoff, Mimi attaquée, des dizaines de personnes blessées
Mort d’homme et violence après le combat
Le combat de lutte Ama Baldé- Malick Niang a charrié des passions. Et cela a engendré des conséquences extrêmement graves. Hier, un supporter de Ama Baldé en a fait les frais. Ibou Barry, 35 ans, et demeurant à Khourounar a été agressé. Malheureusement pour lui et sa famille, il n’a pas survécu à l’agression. Il faut aussi dire qu’il y avait beaucoup de violence après le combat. Les éléments des forces de l’ordre ont été obligés d’user de grenades lacrymogènes pour disperser les malfaiteurs. Chez Ama Baldé, un mur s’est effondré à cause du nombre de personnes qu’il y avait dans la maison pour attendre le champion. Il y a eu des blessés légers.
Sénégal - Violences à l'université, me Abdoulaye Wade, le commanditaire ?
Plus les investigations se poursuivent, plus la lumière jaillit des violences qui ont lieu à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il nous revient en effet de source digne de foi que le pouvoir est convaincu que c'est l'ex-président Wade qui a signé cette ''performance''. Mais, précisent nos interlocuteurs proches de la Présidence, ''si Me Wade pense que le pouvoir vacille, il se trompe''.
Le pouvoir menace : ''le régime lui fera face. Il a pris toutes les mesures pour le ramener à la réalité parce qu'il n'a jamais accepté qu'il a été défait en 2012 par Macky Sall''. Pour nos interlocuteurs, ''il ne perd rien pour attendre, les prochains jours nous édifieront...''. Parrallèlement, il nous revient qu'un travail d'investigation très poussé a été mené pour savoir ce qui est à l'origine des violences.
Wade invite Macky à présenter ses excuses aux Sénégalais et à démissionner
Ouvrant les débats, Oumar Sarr a salué Me Abdoulaye Wade et a vanté le courage et la dignité des militants. Il a été très bien ovationné par l’ensemble des responsables au terme de son discours. Ensuite Me Amadou Sall a parlé de la légèreté des dossiers des détenus politiques. Il a mis en exergue les violations des droits de ces derniers. Par la suite, Abdoulaye Faye qui a pris la parole pour galvaniser l’assistance, suivi des femmes et des jeunes.
Prenant la parole, Wade a remercié tous les foyers religieux. Il a témoigné tout son honneur et sa fierté à ses vaillants militants surtout ceux qui sont illégalement détenus en prison par Macky Sall. L’ancien président a salué et remercié le peuple sénégalais pour l’accueil chaleureux qu’il lui a réservé. Il a aussi dit que depuis son arrivée, il ne cesse de sillonner le pays et de recevoir les gens de toute catégorie. Mais, ce qu’il a remarqué est que partout où il passe, c’est le même refrain à savoir: »Goorgui baalniou danio dioum ou goorgui nio ngi réthiou linga dém, di réthiou liniou fal Macky »….
Il y a vingt et un (21) ans, était assassiné Me Babacar Sèye - Le mystère demeure
C’est aujourd’hui que l’ex vice président du Conseil constitutionnel du Sénégal, Me Babacar Sèye a été sauvagement assassiné.
Ancien vice président du Conseil constitutionnel, Me Babacar Sèye a été assassiné par un gang avec à leur tête Clédor Sène. Il a été tué le 15 mai 1993, quelques jours après les élections législatives du 9 mai de la même année. Les assassins avaient été arrêtés, condamnés puis amnistiés grâce à la loi Ezzan qui a été votée par le pouvoir d’Abdoulaye Wade.
DÉGÂTS COLLATÉRAUX DU KIDNAPPING A OGO, Macky Sall limoge Abou Lô
Le désordre noté dans le parti de l’Alliance pour la République (Apr) a fait une première victime. Il s’agit d’Abou Lô qui a été démis hier, mercredi 7 mai 2014, de ses fonctions de directeur de l’Agence pour la régulation des télécommunications et des postes (ARTP) par le Président Macky Sall. Un limogeage qui fait suite à la forclusion de la liste de l’Apr à Ogo.
Vidéo-Réaction de Farba Ngom après son audition
iGFM (Dakar) Voici la réaction du député Farbé Ngom après son audition par les enquêteurs à Matam.
UCAD - Commémoration de la mort de Balla Gaye : Les étudiants célèbrent la «journée noire» dans la division
Les étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) ont commémoré hier, dans la division, le treizième anniversaire de la mort de leur camarade Balla Gaye tué au sein du campus lors d’un affrontement avec les forces de l’ordre. C’était le 31 janvier 2001.
C’est une «journée noire». A l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), les étudiants ont commémoré hier dans la division le treizième anniversaire de la mort de Balla Gaye. Vêtus de tee-shirt blanc laissant apparaître : «Balla Gaye, 13 ans déjà» et une photo du défunt, les étudiants, divisés en deux camps à cause des réformes, faisaient recours à la violence pour solder leur division. Rouges de colère, ils se lancent des jets de pierres, échangent des discours musclés, des insultes etc.
VIOLENCE ELECTORALE DE L’INDEPENDANCE A NOS JOURS Mains ensanglantées de la classe politique
La responsabilité de la classe politique dans les violences électorales au Sénégal est engagée. Il suffit de jeter un regard rétrospectif pour se rendre compte que cette violence a traversé notre histoire politique. De l’assassinat du député-maire Demba Diop, à celui de Me Babacar Sèye, en passant par la mort de Mamadou Diop, la fusillade nourrie de 1963 sur les allées du Centenaire qui fait dix morts etc, la classe politique a les mains entachées de sang. L’anniversaire de la mort de Mamadou Diop doit alors être une invite à l’introspection.