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Audition de l'ancien ministre à la Crei: Karim Wade, ses avocats, le juge et le procureur
Sur les 61 questions posées jeudi dernier à Karim Meïssa Wade, lors de son audition dans le fond, 54 sont de la Commission d’instruction (Ci) de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) et 7 du substitut du Procureur spécial. En général, elles tournaient autour de son opinion sur le montage de telle ou telle société et la nature exacte de ses relations avec des témoins à charge, déjà entendus.
N’ayant manifestement aucune preuve palpable contre l’ancien ministre, malgré 19 commissions rogatoires et 80 auditions, les juges de la Crei après avoir «conclu» que Bibo Bourgi, son frère Karim Aboukhalil et Mamadou Pouye étaient les bénéficiaires économiques des principales sociétés supposées appartenir au fils de Wade, ont fini par lui demander si ces derniers n’étaient pas ses prête-noms.
Karim Wade aux juges de la Crei-«Je ne réponds à aucune de vos questions»
iGFM (Dakar) «Je ne réponds à aucune de vos questions, et ne peux participer à une parodie de justice», a dit Karim Wade vaux juges de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), si l’on en croit une déclaration publiée par ses proches. Et c’est le journal quotidien qui rapporte l’information. Le fils du Président Wade et ancien ministre se considère comme «un otage politique des nouvelles autorités sénégalaises» qui, selon lui, souhaitent l’empêcher de se présenter à la prochaine élection présidentielle.
BIENS MAL ACQUIS - Acculé par le Parquet spécial : Bibo endosse le Krim
Les commissions rogatoires envoyées au Luxembourg et à Monaco ont ramené une belle moisson qui a permis de confondre l’homme d’affaires Ibrahima Khalil dit Bibo Bourgi et son compère Papa Amadou Pouye. Leurs dénégations n’ont pas résisté à la force des preuves matérielles, et Bibo a néanmoins essayé de préserver Karim Wade qui passe, lui, aujourd’hui devant la même commission.
Les rapports des commissions rogatoires de Monaco et du Luxembourg ont été terribles pour Ibrahim Khalil dit Bibo Bourgi, avant-hier devant les juges de la commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).
A DEUX SEMAINES DE LA DATE BUTOIR DE LA DEUXIEME MISE DE L’ANCIEN MINISTRE D’ETAT - Wade et Sindiély déclenchent l’opération «sauver Karim»
L'OBS - C’est le 14 avril 2014 que va expirer le délai de la deuxième mise en demeure servie à Karim Wade. Dans cette optique, ses avocats, en collaboration avec sa famille, mettent tout en œuvre pour assurer sa défense. Cela, afin de tirer leur client des griffes de Dame Justice.
«Que ceux qui étaient là le comprennent ! Ils auront beau gesticuler, ils auront beau inventer, la justice se fera. Donc ceux qui parlent d’acharnement feraient mieux de faire profil bas et de se trouver de bons avocats», prévenait le Premier ministre, samedi dernier, lors de la journée scientifique du Département de Sociologie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar sur le thème : «Plan Sénégal Emergent (Pse) et révolution des mentalités.»
Affaire Karim Wade-Ablaye Mbaye Pekh propose une solution au PDS
iGFM (Dakar) Plus fidèle qu’Ablaye Mbaye Pekh tu meurs ! Ceux qui pensaient que ce griot allait tourner la page Abdoulaye Wade dès les premières heures de sa perte du pouvoir qu’ils se détrompent. Il reste plus que jamais scotché au Parti démocratique sénégalais (PDS). Abdoulaye Mbaye Pekh a pris la parole lors de la réunion du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais (Pds), selon nos confrères de L’As en demandant aux responsables libéraux d’envoyer une délégation auprès des chefs religieux pour mieux les sensibiliser sur le cas Karim Wade.
Tapa TOUNKARA
Interdiction de dernière minute de la manif des pro-Karim: Les raisons d’un revirement préfectoral
DAKARACTU.COM On en sait un peu plus sur l’interdiction de dernière minute de la marche des libéraux proches de Karim. Sur le pourquoi de ce revirement, des sources proches des décisions nous apprennent que malgré leur publicité et autres moyens de communications utilisés pour leur marche, les "Amis de Karim", au moment du départ n’avaient qu’à peine deux dizaines de personnes, sinon moins, pour porter leurs revendications.
Marche pour la libération de Karim Wade, Les karimistes dans la rue à 15h
iGFM (Dakar) Le préfet de Dakar a autorisé ce jour les karimistes à organiser une marche pour demander la libération de Karim Wade de l’obélisque au rond point RTS le mercredi 26 février 2014 de 15h à 17h selon un communiqué signé Farba Senghor.
Images, Rebeuss, Visite de Serigne Modou Kara à Karim Wade
iGFM (Dakar) Serigne Modou Kara s’est rendu ce mercredi après midi à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Rebeuss. Le guide religieux a rendu visite comme promis à Karim Wade. Il a saisi cette occasion pour distribuer 313 matelas, des cartons de savons entre autres articles aux détenus. iGFM vous propose la visite de Kara à Rebeuss en images.
COUR SUPRÊME - Rebondissement dans l’affaire Karim Wade : Le Parquet général va introduire un recours
La bataille de la Cour suprême est loin d’être terminée. La décision rendue par la Chambre de cassation sur demande des avocats de Karim Wade sera réexaminée car l’Etat, à travers le Parquet général près la juridiction suprême, a décidé de déposer une demande de rabat d’arrêt qui obligera les juges de la Cour de statuer sur l’arrêt de renvoi de l’affaire au Conseil constitutionnel.
La décision de soumettre à l’appréciation des «Cinq sages», la requête des avocats de Karim Wade portant sur l’illégalité des actes de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) par la Cour suprême est loin de laisser les autorités étatiques indifférentes. Décision a été prise d’introduire une demande de rabat d’arrêt devant la Cour suprême. De sources judiciaires, le ministre de la Justice a tenu une réunion de coordination en ce sens, la semaine dernière, avec tous les chefs de Parquet, à l’issue de laquelle instruction a été donnée au procureur général près de la Cour suprême de déposer une requête de rabat d’arrêt auprès de la Chambre de cassation. Le but visé est d’obtenir l’annulation de la décision prise par la même chambre de renvoyer l’inconstitutionnalité de la Crei soulevée par les conseillers de Karim Wade devant le Conseil constitutionnel. La Cour suprême voit donc le dossier demeurer entre ses mains. Une fois le rabat d’arrêt sollicité, tous les juges de la juridiction suprême vont statuer à l’exception des magistrats qui ont rendu l’arrêt renvoyant l’affaire au Conseil constitutionnel.
Il faut relever que toutes les poursuites enclenchées dans le cadre de la lutte contre l’enrichissement illicite seront remises en cause, si jamais le Conseil constitutionnel déclarerait anticonstitutionnelle la Crei et, en conséquence, les actes prises par sa Commission d’instruction. D’aucuns pensent que le renvoi décidé par la Cour suprême n’entre pas dans son domaine de compétences pour ne pas dire qu’elle a outrepassé ses prérogatives. Elle devrait tout simplement se déclarer incompétente.
Cependant, des défenseurs des droits de l’Homme et de Karim Wade ont salué une décision «révolutionnaire» en ce sens qu’un des principes généraux qui gouverne la justice et reconnu par la Constitution en vigueur fait de la possibilité de déposer un recours un droit inaliénable. Aucune juridiction ou loi ne devrait primer sur ce principe. Or, la loi portant création de la Crei dispose que les décisions prises par ladite juridiction ne sont susceptibles d’aucun recours.
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SOURCE: http://www.lequotidien.sn/index.php/la-une2/6571-cour-supreme-rebondissement-dans-laffaire-karim-wade--le-parquet-general-va-introduire-un-recours
Recevabilité et renvoi de la requête des avocats de Karim Wade devant le Conseil constitutionnel : Suprême paradoxe d’une décision
La Cour suprême, saisie d’un recours en Cassation d’une ordonnance de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), a rendu vendredi dernier une décision qui, à l’examen, se révèle être un véritable déni de justice.
Il est vrai que les textes qui organisent la Crei posent un véritable problème de respect des droits de la personne humaine et, dans ces colonnes, nous avons déjà eu à stigmatiser ce fait.