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Mer, Mai
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Sénégal Ouvert depuis le 14 décembre 2017, pour un démarrage effectif des audiences le 23 janvier dernier, le procès contre le maire de la ville de Dakar, Khalifa Sall et ses co-prévenus, dans l’affaire de la caisse d’avance, a pris sa dernière ligne droite. En attendant le verdict du tribunal correctionnel de Dakar, dirigé par le juge Malick Lamotte et ses assesseurs, prévu le 30 mars prochain, Sud quotidien revient sur un procès aux mille facettes, qui a tant soit peu tenu en haleine le pays, depuis près de 2 mois. DE L’INTERNATIONALISATION DU PROCES DE Khalifa Sall

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal

 S’il y a une personne qui a été beaucoup citée hier, c’est bien le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye. En terminant son réquisitoire, il a fait allusion à un livre sur les techniques de la plaidoirie et selon lequel l’avocat ne cherche qu’à flatter le tribunal dans son argumentaire. Une comparaison qui n’a pas plu aux avocats qui, à chaque prise de parole, se sont attaqués à cette appréciation du maitre des poursuites. Ala fin presque de son réquisitoire, le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, en référence à un livre sur les techniques de la plaidoirie, a trouvé que ceux qui sont émus à la suite de l’argumentaire d’un avocat doivent comprendre que l’avocat n’est que dans son rôle qui est d’essayer de flatter le tribunal. Un argumentaire fustigé par le bâtonnier Moussa Félix Sow qui, en réponse à Serigne Bassirou Guèye, a dit qu’il n’y a aucune mise en scène dans ce qu’ils font. « Chacun ici fait son travail sérieusement », a-t-il répondu. « La flatterie, un mot dont le procureur a fait référence dans son argumentaire, qualifie les avocats comme de metteurs en scène », en a déduit Me Khassimou Touré qui trouve que les avocats ne sont pas des scénaristes. 

Publié dans JUSTICE

Sénégal

 Les avocats de la défense ont clôturé hier, mercredi 21 février leurs plaidoiries dans le cadre de l’affaire de la gestion de la caisse d’avance de la mairie de Dakar opposant l’Etat du Sénégal au député-maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall et ses co-prévenus. À la barre, Me François Sarr et ses confrères ont réfuté toutes les charges retenues contre leurs clients en plaidant la relaxe. Ouvrant le bal des plaidoiries de la défense hier, mercredi 21 février, Me Ndèye Fatou Sarr a demandé au tribunal de relâcher son client, Khalifa Ababcar Sall ainsi que tous ses co-prévenus. À la barre, la robe noire a indiqué qu’aucune des infractions n’est établie et que le député-maire de Dakar est simplement victime d’une «orchestration» d’une «machination».

Publié dans La Une de la Presse

Le procès de Khalifa Sall et des sept co-accusés au Palais de justice, à Dakar, entre dans sa cinquième semaine ce lundi 19 février. L’heure est aux plaidoiries de la défense. Vendredi, le procureur a requis sept années de prison et 5,5 milliards de francs CFA d’amende à l’encontre du député, maire de la capitale, soupçonné notamment de détournement de deniers publics. Les nombreux avocats de Khalifa Sall auront jusqu’à mercredi pour tenter de convaincre le tribunal que leur client n’a rien détourné. A la barre lundi après-midi, ils se sont montrés très offensifs.

Affûtée, la défense a décortiqué crescendo tous les chefs d’inculpation. « Comment pouvez-vous parler de détournement de fonds à hauteur de 1,8 milliard ? Mon client travaille avec le maire Khalifa Sall. Il est locataire, paie 75 000 francs CFA de loyer, n’a pas de voiture et on me dit qu’il s’est enrichi », engage l’un des avocats.

Publié dans JUSTICE

Il y a des jours où l’érudition élégante et l’éloquence veloutée d’un discours digne de l’académicien Jean d’Ormesson, s’effacent opportunément et cèdent exceptionnellement la place, à la trivialité colorée et à la verdeur épatante des saillies dignes de l’humoriste Coluche, pour commenter sévèrement les propos inqualifiables et inénarrables du Président Donald Trump. Le chef de l’Exécutif américain qui embouche et embouche encore – non pas les trompettes de Jéricho aux sons historiquement salvateurs et aux sonorités bibliquement rédemptrices – mais la lugubre trompette de Washington, à la mélodie chargée de jugements dingues et désastreux. Le prospère homme d’affaires et inattendu locataire de la Maison-Blanche, Donald Trump, a visiblement une inébranlable culture des clichés, un goût prononcé pour les formules réductrices et, surtout, un sens fou des jugements à l’emporte-pièces.    

Publié dans News

L'ancien ministre français de la Culture Jack Lang ne mâche pas ses mots pour dénoncer les propos de Donald Trump sur les "pays de merde", qualifiant en retour le président américain de "président de merde".

L'ancien ministre de François Mitterrand a utilisé cette expression samedi sur son compte Twitter et sur Facebook.

Comme un cri de ralliement

Publié dans News
mardi, 09 janvier 2018 20:37

Tuerie de Bofa : Karfa Diallo charge You

Karfa Sira Diallo ne décolère pas contre Youssou Ndour. Le fondateur de l’association Mémoires et partages ne comprend pas l’attitude du chanteur, qui a maintenu son concert à Cices alors que 13 personnes étaient tuées en Casamance. « Si ce massacre avait eu lieu à Dakar, Youssou Ndour aurait-il maintenu son concert », se demande-t-il cité par Le Quotidien. Pour Diallo, la fonction étatique qu’occupe le chanteur la lui imposait.

Publié dans News

Khalifa Sall avait besoin de soutien et non d'une exclusion. Ce que le parti socialiste vient de faire derrière le dos du maire de Dakar alors qu'il est en prison n'est rien d'autre que de la trahison. Cheikh Guèye, maire de Dieuppeul/Derklé qui se prononce sur l'exclusion de Khalifa Sall, estime que c'est anti-démocratique et contraire aux valeurs cardinales qu'incarne le parti socialiste.

Publié dans POLITIQUE

 Mimi Touré persiste et signe. Elle ne variera en rien dans sa déclaration relative aux fonds recouvrés dans la traque des biens mal acquis. Dans un texte publié dans la presse après les récriminations des certains acteurs politiques contre sa déclaration, l’ancien Premier ministre affirme que la reddition des comptes a même rapporté plus de 200 milliards au Trésor public. « Je persiste et signe. Et les cris d’orfraie des clients et associés de la Crei (Cour de répression de l’enrichissement illicite) et du procureur de la République peuvent continuer jusqu’au jugement dernier, ils ne m’ébranlent guère.

Publié dans La Une de la Presse

Macky Sall révoque Ousmane Sonko

Il n’y aura plus d’autres auditions de Ousmane Sonko devant le Conseil de discipline. Le chef de l’Etat a accéléré la cadence en révoquant l’inspecteur des impôts et domaines pour «manquement à son obligation de discrétion professionnelle». 

Publié dans News