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Les récentes pluies qui se sont abattues récemment sur le pays, ont davantage creusé le fossé entre la capitale et l’intérieur du pays. Dans le département de Foundiougne, les vannes ouvertes du ciel ont causé de nombreux dégâts, comme le prouvent les statistiques de l’administration territoriale, qui font état d’un millier d’habitations détruites et des centaines d’hectares de récoltes noyées.

Les pluies diluviennes (Plus de 200 millimètres) qui se sont abattues le vendredi 30 août au matin dans la région de Fatick ont entraîné malheurs et désolations. Mais la situation est tout aussi dramatique dans la communauté rurale de Keur Samba Guèye, et plus précisément dans les villages de Keur Samba Noso, Keur Ousseynou Dieng, Keur Samba Guèye, où 968 cases ont été détruites par les eaux de pluies. A cela s’ajoutent quelque 43 ha de récoltes détruites, en maïs, mil et en riz. Et comme si cela ne suffisait pas, dans le village de Seyni Guèye, c’est le petit barrage hydro-agricole qui a cédé et les eaux ont envahi les terres.

Publié dans La Une de la Presse

Le Premier ministre, Mme Aminata Touré a déclaré hier, à l’issue de la passation de service avec son prédécesseur, Abdoul Mbaye, qu’elle mesure l’impatience des Sénégalais quant à l’urgence à apporter des réponses concrètes aux nombreuses préoccupations des populations. Cependant sans perdre de vue que le Sénégal est un pays sous-développé «à ressources limitées». La passation s’est déroulée dans la plus grande sobriété, avec un Premier ministre sortant qui s’est toutefois refusé à toute déclaration à la presse.

Pas d’optimisme béat devant la volonté proclamée d’ «accélérer» les choses à travers le nouveau gouvernement dirigé par le désormais Premier ministre, Mme Aminata Touré qui a reçu, hier mardi, le témoin des mains de son prédécesseur Abdoul Mbaye. Si Mme Touré a dit «mesurer l’impatience» des Sénégalais, c’est pour aussitôt tempérer les ardeurs en suggérant le «réalisme». «Nous mesurons», dit-elle, « l’impatience de nos concitoyens et il faudra délivrer des résultats rapidement.»

Publié dans La Une de la Presse
 
«Ce que l’Etat va faire des biens saisis sur Tahibou Ndiaye»
 

l'OBS «Ce que l’Etat va faire des biens saisis sur Tahibou Ndiaye»

«Il n’y a rien d’illégale dans l’affaire Tahibou Ndiaye»

«Il n’y a pas de deal entre l’Etat et Tahibou Ndiaye»

«Je retiens moins ce qu’on a pu dire par le passé que ce qui s’est passé aujourd’hui»

«Si Tahibou ne respecte pas ses engagements…»

Publié dans La Une de la Presse

Afin de mieux faire vivre la philosophie du panafricanisme, le chef de l’Etat Macky Sall et son homologue namibien Hifikepunye Pohamba, veulent un renforcement de la coopération entre la Cedeao et la Sadc.

Au terme de la visite de six jours (du 25 au 30 août) qu’il vient d’effectuer en Namibie, le chef de l’Etat Macky Sall et son homologue namibien Hifikepunye Pohamba ont appelé à un approfondissement de l’intégration régionale par une « interaction accrue » entre la Sadc et la Cedeao. 

Publié dans La Une de la Presse

SETAL.NET- L’ancien ministre de Me Wade ne croît pas aux retrouvailles de la famille libérale. D’après Thierno Lô c’est cela qui pourrait retarder notre marche vers le développement

Thierno Lô crée un fossé entre les libéraux et lui. Thierno Lô avoue ne point croire aux retrouvailles de la famille libérale. « Je ne crois pas en des retrouvailles d’une famille libérale », laisse entendre Thierno Lô dans l’Observateur repris par Setal.net. 

Publié dans POLITIQUE
 
Me Madické Niang : « Si on saisit des véhicules, c’est parce qu’on n’a pas trouvé les milliards qu’on attendait »
 

 

Dans la ville sainte de Touba pour les besoins du magal de Mbacké Bary, le responsable libéral, Me Madické Niang, a clairement indiqué que si l’Etat arrive à saisir des véhicules c’est parce qu’il n’a pas trouvé les milliards de francs Cfa qu’il attendait. Par ailleurs, l’ancien ministre des Affaires étrangères s’est prononcé sur l’acte 3 de la décentralisation et le projet de loi d’inéligibilité des personnes ayant détourné des deniers publics.

Publié dans La Une de la Presse
 
ADJI MERGANE KANOUTÉ, SG PAR INTERIM DE L’UDS/INNOVATION « Zahra Iyane Thiam n’est plus la secrétaire générale de notre parti»
 

 

Adji Mergane Kanouté invite les membres de la coalition Macky 2012, à laquelle appartient son parti, Uds/Innovation, à travailler à la consolidation de Benno Bokk Yakaar. Il y va de la stabilité du pays, défend-t-elle. Dans cet entretien avec Rewmi, celle qui assure la présidence des femmes de cette coalition de coalitions n’a pas éludé les remous au sein de son parti. C’est pour rappeler qu’elle reste la patronne jusqu’au prochain congrès, au mois d’octobre.


Vous êtes la présidente des femmes de Benno Bokk Yakaar, une coalition où l’écho des querelles de clochers semble monter crescendo au fur et à mesure que s’approchent les Locales. D’aucuns prédisent son éclatement. Partagez-vous ce point de vue ? 

Je ne crois pas à l’éclatement de la coalition Benno Bokk Yakaar, parce que tout simplement, nous avons un président de la République très courageux et intelligent. Il trouve toujours les bonnes formules pour consolider la coalition. Par exemple, le président Macky Sall avait trouvé la bonne formule aux dernières élections législatives. Il en trouvera également une excellente pour les élections locales de 2014, tout en sachant que la stabilité du pays dépend de la cohésion de la coalition Benno Bokk Yakaar. Nous ne voulons pas reprendre les pratiques du président Abdoulaye Wade qui, une fois au pouvoir, a écarté tous ses alliés. Il pensait pouvoir, à lui seul, changer le Sénégal. Les leaders qui ont été poussés à la sortie, se sont organisés à travers des Assises nationales et la mise en place du mouvement du 23 juin (M23). Et tout ce processus-là a amené à la perte du pouvoir du président Abdoulaye Wade. Le président Macky Sall est conscient que la stabilité du pays dépend de la consolidation de Benno Bokk Yakaar, mais également, de l’implication de la société civile, pour son bon fonctionnement. 

Pourtant, au sein de la coalition Macky 2012, l’on prône la rupture avec Benno Bokk Yakaar. Cette position ne risque-t-elle pas de saper votre unité ? 

Mon parti, l’Union pour le développement du Sénégal/Innovation, fait partie de la coalition Macky 2012. Nous sommes les premiers alliés du président Macky Sall. C’est pour cela que nous exhortons mes camarades de coalition à plus de retenue et de mesure. S’ils veulent aider le président Macky Sall dans sa mission de servir le Sénégal, comme ils le disent, il faut qu’ils oublient leurs intérêts personnels et mettent l’intérêt national en avant. Certains leaders de la coalition Macky 2012 n’ont aucune responsabilité, aucune occupation. Et quand un leader n’a pas d’occupation, il passe son temps à faire des déclarations, au grand dam de la cohésion de la coalition Benno Bokk Yakaar. Si le président Macky les responsabilise quelque part, vous ne les entendrez plus faire des sorties à travers les médias. Il faut que les leaders de Macky 2012 sachent que les alliés accompagnent loyalement le président Macky Sall avec qui ils travaillent en parfaite synergie. Ce n’est pas parce qu’on veut obtenir un strapontin qu’on se permet de jeter le discrédit sur une personne. Ce n’est pas parce qu’on a accompagné le président, qu’on est en droit d’attendre quelque chose de lui. Le pays n’est pas un gâteau à partager. 

Pour un Benno Bokk Yakaar fort, d’aucuns préconisent que les leaders des coalitions Benno Siggil Senegaal, Idy4 président, Benno ak Tanor et Macky 2012 se fondent dans la coalition Benno Bokk Yakaar. Est-ce la solution pour vous ? 

C’est l’idéal que l’on puisse dépasser les coalitions Benno Sigguil Sénégal, Idy4 président, Benno ak Tanor et Macky 2012 pour être une seule et unique coalition. Au niveau des femmes, nous travaillons dans cette dynamique et nous oublions même des fois nos coalitions d’origine, parce qu’on est devenues liées et nous travaillons en synergie. Nous menons même des activités sociales en direction des populations démunies. Les gens pensent que nous passons tout notre temps à faire de la politique. Nous saluons la disponibilité des femmes ministres, députés et directrices de société de Benno Book Yaakaar. Elles font des descentes régulières au niveau de la base. Ces visites réconfortent les militantes qui se sont battues contre le régime libéral. Et cette même coordination doit se faire sentir au niveau des autres sensibilités. Et cela va faire moins de frustrations dans les différentes instances. 

L’actualité politique, c’est aussi la traque aux biens supposés mal acquis. Quelle est votre position, par rapport à ce dossier ? 

Nous soutenons sans réserve cette traque aux biens mal acquis. Parce qu’il y avait beaucoup de bruits sur la mauvaise gestion de l’ancien régime. Il faut laisser la justice faire son travail. Il n’est pas normal que les deniers publics soient utilisés par quelques personnes à d’autres fins. Si les personnes poursuivies sont coupables, nous demandons une punition exemplaire, pour que demain de telles pratiques ne se reproduisent plus demain. 

Le Psds dit que vous protégez certaines personnalités qui vous ont rejoint tout dernièrement. Partagez-vous cet avis ? 

On ne protège personne. Nous irons jusqu’au bout. Parce que c’est l’une des raisons du changement. Le Président a dit clairement qu’il ne va protéger personne. L’ancien directeur général de la Lonase, Baïla Wane, qui nous a rejoints a été cité dans une malversation financière. Mais, il a été arrêté puis emprisonné. M. Wane a obtenu une liberté provisoire à cause de son état de santé. Donc, cette traque est valable pour tout le monde, y compris Karim Wade et compagnie parce que la loi est, par nature, impersonnelle. 

«Zahra Iyane Thiam n’est plus la Secrétaire générale de l’Uds/Innovation. Elle sera convoquée en tant que simple militante au prochain congrès du parti». 


Parlons de votre formation politique, l’Uds/Innovation. Deux camps, le vôtre et celui de Zahra Iyane Thiam, se battent pour le contrôle de la direction. Un congrès a été convoqué au mois d’octobre pour vider le contentieux. Comment en êtes-vous arrivés à cette fissure ? 

L’Union pour le développement du Sénégal/Innovation a 7 ans d’existence. Le parti a été créé par des jeunes issus du mouvement associatif. Et Zahra Iyane Thiam était l’une des personnes qui faisait la politique, parce qu’étant responsable du parti Rewmi d’Idrissa Seck au niveau de la Sicap. Vu son expérience en politique, nous l’avons mise à la tête de notre parti. Mais, le parti n’appartient à personne. Autre précision : Zahra Iyane Thiam est restée plus de six mois sans assister aux réunions. Nous pouvions attendre le congrès pour la faire remplacer, à cause de ces manquements. Et plus grave, elle prend des décisions et des positions, au nom du parti, sans consulter son secrétariat exécutif. Face à ces fautes lourdes, nous avons appliqué l’article 24 de notre parti, qui stipule, en cas de vacance de poste ou d’abandon pendant 6 mois, que l’Assemblée générale peut valablement remplacer la secrétaire générale. C’est un verrou que nous avons, ensemble, mis dans les lois et règlements du parti et en général, on ne retrouve pas ces genres d’articles dans d’autres formations politiques. Elle a été remplacée d’une manière régulière et officielle par les instances du parti. Dans ce cas, nous le répétons encore : Zahra Iyane Thiam n’est plus la secrétaire générale de l’Uds/Innovation. Et je suis devenue secrétaire générale par intérim. 

Ignorant cette décision, Zahra Iyane Thiam est allée jusqu’à exclure certains parmi vous de la formation. N’est-ce pas la preuve qu’elle détient encore le pouvoir ? 

Elle est libre de contester, mais elle ne peut pas nous empêcher de travailler pour massifier le parti. C’est vrai, elle a fait une déclaration disant exclure du parti le numéro 2, Amadou Oumar Guèye, ensuite, la secrétaire politique, numéro 3, ma modeste personne, et le numéro 4, qui est chargé de la communication et porte-parole du parti, Abdourahmane Sow, etc. Nous, on ne l’a pas exclue, mais on l’a fait remplacer, en se basant sur les textes et régalements du parti. Et nous avons informé le ministre de l’Intérieur, étape par étape, de ces changements intervenus au mois de novembre dernier. 

Et comment fonctionne le parti dans cette atmosphère de division ? 

Le parti fonctionne normalement. Nous nous réunissons tous les jours au siège habituel et légalement reconnu du parti. Nous sommes en contacts permanant avec les secrétaires généraux de tous les départements du Sénégal. Et si elle a une tranche avec elle, ça doit être sa propre famille. Parce que tous les membres du bureau national et des régions sont avec nous. 

Est-ce que le congrès aura lieu ? 

Nous irons au congrès au mois d’octobre et Zahra sera convoquée, en tant que simple militante, parce que nous ne l’avons pas exclue du parti. Nous y travaillons en parfaite en harmonie avec les secrétaires régionaux. Dans ce cas, il n’y pas de flou, parce que tout se passe normalement. 

Entretien réalisé par 
Khalil DIEME
 

source: http://www.rewmi.com/ADJI-MERGANE-KANOUTE-SG-PAR-INTERIM-DE-L-UDS-INNOVATION-Zahra-Iyane-Thiam-n-est-plus-la-secretaire-generale-de-notre_a81721.html
Publié dans La Une de la Presse

SETAL.NET- L’acquisition de la convention de concession avec MTL a été peignée au fin par les enquêteurs de l’Ige. Dans ce rapport exploité par l » Observateur repris par setal.net, de forts soupçons de corruption pèsent sur le directeur de cabinet de Guirassy.

Les cafards des dealers de la République du temps de Me Wade sortent du terrain.

Publié dans ÉCONOMIE
 
« La commande publique doit être orientée vers le mobilier national »
 

La complainte des artisans sénégalais, serait-elle en train de trouver échos favorable ? La sortie hier du ministre de la formation professionnelle de l'apprentissage et de l'artisanat semble répondre par l'affirmative. Selon Mamadou Talla, la commande publique doit être orientée vers le mobilier national pour favoriser le développement de l'artisanat local. Dix huit milliard de francs Cfa passent chaque année sous le nez des menuisiers sénégalais au profit des meubles importés, d'autant que les institutions de la République s'équipent avec de l'importé. 

Publié dans La Une de la Presse

SETAL.NET-Deux Ministères sous Wade se sont illustrés dans les dépassements budgétaires, si l’on se fie au rapport de l’Ige sur l’état de la gouvernance et de la reddition des comptes présenté au chef de l’Etat.

Dans le rapport de l’Ige, les « ponctions budgétaires » opérées par le Ministère de l’Economie et des finances ont été, d’après les vérificateurs souvent invoqués pour expliquer les divers dépassements budgétaires notés dans certains Ministères sous l’ère Wade. Dans ce jeu, rapporte le document exploité par EnQuête, les ministères de l’Intérieur et de la Santé se sont illustrés de façon particulière, en s’adonnant à des dépenses hors budgets.

Publié dans ÉCONOMIE