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AÉROPORT LEOPOLD SEDAR SENGHOR, FOIRE, CORNICHE… Dakar, ville à vendre
Un aéroport international complètement ouvert à tous les trafics fonciers alors que le projet Diass qui trace ses voies, est loin d'être bouclé. Une Foire internationale à l'intérieur de laquelle, il ne reste plus qu'un petit noyau central disponible où se bouscule le monde de passage à chaque grand évènement commercial, ce sont bien les nouvelles images de Dakar. Si vous y ajoutez un centre-ville et ses abords qui perdent chaque jour, une bonne partie de leur mémoire urbanistique, vous avez tous les ingrédients réunis pour faire de la capitale, une ville à vendre ou en vente. C'est selon… Au gré de marchés en tout genre, la cité change ainsi de cap et d'orientation sans aucune vision claire sur son futur.
CREI - L’ex-sénatrice libérale mise en demeure : 30 jours chrono pour Aïda
Le procureur spécial Alioune Ndao a finalement servi à Aïda Ndiongue une mise en demeure. La Libérale a un mois pour justifier un patrimoine de plus de 41 milliards à lui reproché.
Aïda Ndiongue est passée hier à la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour «récupérer» sa mise en demeure. Alioune Ndao doute, en effet, de la licéité de l’origine des 41 milliards 140 millions 158 mille 846 F Cfa de l’ex-sénatrice libérale. Mme Ndiongue a donc un mois, comme le dispose la loi portant création de la Crei, pour justifier ce patrimoine.
ENRICHISSEMENT ILLICITE - Aida Ndiongue mise en demeure vendredi
L'OBS - L’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue, sera obligée de prouver l’origine licite des 47 milliards FCfa découverts dans ses comptes. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est disposée à lui servir une mise en demeure vendredi prochain.
Il faudra beaucoup de chance à Aïda Ndiongue ou un retournement de situation extraordinaire pour qu’elle échappe à une mise en demeure de la de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) après demain vendredi.
Faux alibis, cérémonies familiales et religieuses: Les ficelles de la triche au travail
Bureaux, hôpitaux, écoles, entreprises, peu de secteurs de la vie active nationale échappent à l’absentéisme des travailleurs. Les prétextes sont légion : certificat médical de complaisance, décès de proche, cérémonies familiale et religieuse. La liste est loin d’être exhaustive. Et pourtant, les chefs religieux, musulmans comme catholiques, lors des grands événements surtout, ne cessent d’appeler les Sénégalais au travail. Récemment, c’est le président de la République, Macky Sall, de retour de la Chine et de la réunion du Groupe consultatif de Paris, qui avait réitéré cette invite à ses compatriotes.
POUR UN RETOUR À LA VALEUR DU TRAVAIL
Les chiffres et faits sont formels. 15 jours chômés et payés (fêtes civiles et religieuses) et 15 jours de permissions exceptionnelles pour raisons familiales, soit 30 jours, sans compter les congés annuels, le salarié sénégalais se repose beaucoup.
SPÉCULATIONS SUR LE DOMAINE DE L’ETAT La brèche monumentale
En retournant la terre sur laquelle trône le fameux Monument de la renaissance, inscrit au panthéon de l’histoire comme un symbole d’illégalité, d’expropriation, de détournements de fonds et d’objectifs, on découvre en fait que le prédécesseur de Macky Sall n’a fait que s’engouffrer dans une brèche ouverte par le régime socialiste. Celui-ci, en 1987 puis en 1994, a fait sauter les verrous du domaine privé de l’Etat et ouvert un boulevard à la spéculation foncière. Des verrous que l’actuel régime devrait s’empresser de remettre dans le cadre de la réforme foncière, si toutefois la bonne gouvernance demeure son cheval de bataille.
MACKY SALL, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE - «Arrêtons de tricher et méritons nos salaires»
L'OBS - Après un périple de près de douze jours qui l’a mené en Chine, à Paris en France, à Doha au Qatar et à Abuja au Nigéria, le chef de l’Etat, Macky Sall, a annoncé un bilan très satisfaisant à son retour, avec le bouclage du budget de 24 milliards pour le financement de l’arène nationale et 3 729 milliards de FCfa pour le Plan Sénégal émergent (Pse). Il a exhorté les Sénégalais au travail et au bannissement de la corruption. Compte rendu !
Interdiction de dernière minute de la manif des pro-Karim: Les raisons d’un revirement préfectoral
DAKARACTU.COM On en sait un peu plus sur l’interdiction de dernière minute de la marche des libéraux proches de Karim. Sur le pourquoi de ce revirement, des sources proches des décisions nous apprennent que malgré leur publicité et autres moyens de communications utilisés pour leur marche, les "Amis de Karim", au moment du départ n’avaient qu’à peine deux dizaines de personnes, sinon moins, pour porter leurs revendications.
PSE -3729 MILLIARDS D’ENGAGEMENTS NOUVEAUX Les bailleurs achètent
La septième réunion du Groupe consultatif Sénégal a enregistré un franc succès hier, lundi, à Paris. Les partenaires financiers du Sénégal ont été plus que généreux en s’engageant pour 3729 milliards de FCfa alors que le Sénégal les sollicitait pour quelque 1853 milliards de FCa, représentant le gap de financement public destiné au financement du Plan Sénégal émergent(Pse).
Paris - C’est l’aboutissement de plusieurs mois de travail, de polémique autour d’un plan qui aura mobilisé beaucoup de ressources financières et humaines.
THIES-DR AUGUSTIN TINE, MINISTRE DES FORCES ARMEES - «Il faut que la dette du Sénégal soit soutenable»
L'OBS - Grand oral de Macky Sall à Paris : «Le président de la République Macky Sall a une idée claire pour développer ce pays. C’est pour cela qu’après le «Yoonu yookkute», c’est le Pan Sénégal émergent (Pse). Nous pensons que c’est ce plan qui peut booster le développement du Sénégal. Le président Macky Sall vient de la Chine où il a rencontré non seulement les responsables chinois, mais aussi des bailleurs et les milliards FCfa qu’on aura récoltés nous permettront de développer nos infrastructures. Nous sommes partis pour un Sénégal émergent».
Le Sénégal au Groupe consultatif pour 1 853 milliards : Paris gagné
Au premier jour de la rencontre du Groupe consultatif qui doit réunir le Sénégal et ses bailleurs potentiels, l’optimisme semble de mise dans le camp sénégalais. Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Ba, est même obligé de refuser certaines propositions de financement de dernière minute, car cela risque de dépasser de loin les objectifs que le gouvernement s’est imposés pour cette mission.
La rencontre de Paris risque de dépasser en résultats ce que Macky Sall a ramené de Beijing. Le ministre de l’Economie et des Finances