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Suivi de la Déclaration de politique générale : Mimi passe l'oral des bailleurs
Face aux bailleurs de fonds hier, le Premier ministre Aminata Touré a décliné, avec l’apport de certains de ses ministres, les grands axes des objectifs qui lui ont été assignés par son chef. Un exercice facilité par la matrice de suivi-évaluation établie par son gouvernement.
Le régime de Macky Sall s’est donné pour priorité de satisfaire aussi vite que possible les besoins sociaux des Sénégalais. Le gouvernement du Premier ministre Aminata Touré va appuyer sur la réalisation de 25 actions phares ciblées lors de la Déclaration de politique générale (Dpg).
L'OBS du 19/02/2014 - Macky Sall sur le rapport de la CNRI «Je ne prendrai que ce que je jugerai bon »
iGFM (Dakar) Le président de la république, Macky Sall a rompu le silence sur le rapport de la commission nationale des réformes institutionnelles (CNRI) déposé la semaine dernière par Amadou Makhtar Mbow et Cie. Depuis la Chine où il se trouve, le président Sall a indiqué qu’il ne prendra que ce qu’il jugera bon. Et par conséquent : « il n’y a lieu de polémiquer ». Avant d’ajouter : « On ne peut pas me mettre la pression » a dit le président Macky Sall.
Extraite de force, sermonnée par le juge : Aïda, une dame humiliée
La responsable du Parti démocratique sénégalais (Pds), Aïda Ndiongue, a connu hier une matinée très mouvementée. Après son refus de déférer à la convocation du Tribunal, l’ex-sénatrice libérale a été cueillie de force par des agents de l’Administration pénitentiaire sur ordre du procureur de la République. Finalement, le procès de l’ex-sénatrice, poursuivie pour voies de fait, injures, menaces de mort a été renvoyé au 1er avril.
Elle est défigurée : Maxillaires serrés, pâle, poignardée par un sentiment d’injustice. Elle est frappée non plus au cœur, mais dans son orgueil et sa dignité. Aïda Ndiongue est donc face à elle-même, étreinte par cette main glacée du destin qui succède aux chaudes illusions du succès. C’est l’heure de vérité. Grandeur et décadence ! Sertie dans du diamant, l’ex-sénatrice libérale a vécu hier une matinée très mouvementée au Tribunal de Dakar.
L'OBS du 18/02/2014 - Macky enterre la CREI
L'OBS - Farba Senghor
Le face-à-face entre l’ancien ministre Farba Senghor et le Doyen des juges d’instruction n’a pas eu lieu. Prévue hier à 15 heures, l’audition du chargé de la Propagande du Parti démocratique sénégalais a été reportée sine die. Farba Senghor qui était déterminé à se rendre au redouté cabinet de Mahawa Sémou Diouf a été ralenti par une note que lui aurait envoyé celui-ci pour déprogrammer la rencontre. Des sources proches du Cabinet ont soulevé un empêchement du magistrat instructeur. Mais ce faux bond ne signifie nullement que la rencontre est renvoyée aux calendes grecques. L’ancien ministre sous le régime libéral fera bien face au Doyen des juges Mahawa Sémou Diouf même si aucune autre date n’a encore été retenue. Ainsi, c’est toujours l’omerta sur les motifs de la convocation, puisque le concerné lui-même dit ignorer la raison pour laquelle il a reçu cette invitation de Mahawa Sémou Diouf.
Obus
Un obus, usé par le temps, mais non endommagé. C’est cet engin de guerre d’une grande capacité de nuisance, qui a été découvert vendredi dernier, au populeux quartier de Sam Notaire. A l’origine de cette trouvaille, un groupe de jeunes gens qui, s’adonnant à une partie de jeux, ont par inadvertance, creusé et mis la main sur cette bombe. Inconscient du caractère destructeur de cet engin, ils se sont mis à la scruter dans une ambiance bon enfant. C’est alors, renseignent nos sources, que des personnes bien au fait de la faculté nuisible de l’engin, s’en sont saisi et l’ont isolé.
COUR SUPRÊME - Rebondissement dans l’affaire Karim Wade : Le Parquet général va introduire un recours
La bataille de la Cour suprême est loin d’être terminée. La décision rendue par la Chambre de cassation sur demande des avocats de Karim Wade sera réexaminée car l’Etat, à travers le Parquet général près la juridiction suprême, a décidé de déposer une demande de rabat d’arrêt qui obligera les juges de la Cour de statuer sur l’arrêt de renvoi de l’affaire au Conseil constitutionnel.
La décision de soumettre à l’appréciation des «Cinq sages», la requête des avocats de Karim Wade portant sur l’illégalité des actes de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) par la Cour suprême est loin de laisser les autorités étatiques indifférentes. Décision a été prise d’introduire une demande de rabat d’arrêt devant la Cour suprême. De sources judiciaires, le ministre de la Justice a tenu une réunion de coordination en ce sens, la semaine dernière, avec tous les chefs de Parquet, à l’issue de laquelle instruction a été donnée au procureur général près de la Cour suprême de déposer une requête de rabat d’arrêt auprès de la Chambre de cassation. Le but visé est d’obtenir l’annulation de la décision prise par la même chambre de renvoyer l’inconstitutionnalité de la Crei soulevée par les conseillers de Karim Wade devant le Conseil constitutionnel. La Cour suprême voit donc le dossier demeurer entre ses mains. Une fois le rabat d’arrêt sollicité, tous les juges de la juridiction suprême vont statuer à l’exception des magistrats qui ont rendu l’arrêt renvoyant l’affaire au Conseil constitutionnel.
Il faut relever que toutes les poursuites enclenchées dans le cadre de la lutte contre l’enrichissement illicite seront remises en cause, si jamais le Conseil constitutionnel déclarerait anticonstitutionnelle la Crei et, en conséquence, les actes prises par sa Commission d’instruction. D’aucuns pensent que le renvoi décidé par la Cour suprême n’entre pas dans son domaine de compétences pour ne pas dire qu’elle a outrepassé ses prérogatives. Elle devrait tout simplement se déclarer incompétente.
Cependant, des défenseurs des droits de l’Homme et de Karim Wade ont salué une décision «révolutionnaire» en ce sens qu’un des principes généraux qui gouverne la justice et reconnu par la Constitution en vigueur fait de la possibilité de déposer un recours un droit inaliénable. Aucune juridiction ou loi ne devrait primer sur ce principe. Or, la loi portant création de la Crei dispose que les décisions prises par ladite juridiction ne sont susceptibles d’aucun recours.
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SOURCE: http://www.lequotidien.sn/index.php/la-une2/6571-cour-supreme-rebondissement-dans-laffaire-karim-wade--le-parquet-general-va-introduire-un-recours
Lutte contre la délinquance financière Macky enterre la CREI au profit de la CRIEF
En défendant son budget devant l’Assemblée nationale en 2012, Aminata Touré alors garde des sceaux, ministre de la justice avait annoncé la volonté du gouvernement de dissoudre la Cour de répression de l’enrichissement illicite et la mise en place d’une nouvelle cour contre les crimes économiques et financiers. Le projet de loi qui modifie la loi n 81-54 du 10 Juillet 1981 créant une cour de répression de l’enrichissement illicite est fin prêt. ‘’L’observateur’’ livre ainsi ce qui va changer de la CREI devenue CRIEF. Un changement qui intervient au moment où le conseil constitutionnel se penche sur la constitutionnalité ou non de la CREI à l’origine de l’incarcération de Karim Wade.
PROMOTION DES PETITES EXPLOITATIONS FAMILIALES Les cantines scolaires à l'école du consommer loca
Le ministre de l'Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, a effectué du 2 au 4 février 2014, une visite de travail conjointe avec les responsables du PAM Sénégal sur les expériences de pérennisation du programme d'alimentation scolaire intégré Cantine Scolaire / Champs communautaires, dans les régions de Kaolack (Village de Keur Yoro Khodia, département de Nioro) et de Kédougou (Village de Banda fassi, département de Kédougou). Accompagné de la directrice résidente du Programme alimentaire mondial (Pam), Ingeborg Maria Breuer, M. Serigne Mbaye Thiam a salué les résultats enregistrés par ce projet qui favorise l'acquisition de denrées alimentaires au niveau local pour l'approvisionnement des cantines scolaires
Recevabilité et renvoi de la requête des avocats de Karim Wade devant le Conseil constitutionnel : Suprême paradoxe d’une décision
La Cour suprême, saisie d’un recours en Cassation d’une ordonnance de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), a rendu vendredi dernier une décision qui, à l’examen, se révèle être un véritable déni de justice.
Il est vrai que les textes qui organisent la Crei posent un véritable problème de respect des droits de la personne humaine et, dans ces colonnes, nous avons déjà eu à stigmatiser ce fait.
L'OBS du 11/02/2014 - REVELATIONS - AHMA DIOP, MEMBRE DU PARTI SOCIALISTE
TOUT SUR L’AFFAIRE DE LA SENATRICE LIBERALE
Ce que le Procureur reproche réellement à Aïda Ndiongue et Cie
C’est aujourd’hui que la Chambre d’accusation va, si l’audience n’est pas renvoyée, ouvrir les débats sur l’annulation de la procédure d’Aïda Ndiongue. A quelques heures des débats, L’Obs vous plonge dans les dessous de cette affaire déclenchée depuis le 02 décembre 2013.
Affaire Aïda Ndiongue : L’Etat se constitue partie civile
Les choses se corsent davantage pour l’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue. La traque des avoirs supposés détenus par la responsable du Parti démocratique sénégalais (Pds) a connu un rebondissement. Pour être dans la procédure, l’Etat a décidé de se constituer partie civile, dans le cadre de la traque des biens supposés de l’ex-sénatrice, soupçonnée de s’être enrichie illicitement.
Cette constitution de partie civile va permettre, sans doute, à l’Agent judiciaire de recouvrer des biens de l’Etat du Sénégal ou même de recevoir des dommages et intérêts. «Dans le souci de recouvrer des biens mal acquis dont est soupçonnée la mise en cause, l’Agent judicaire a jugé nécessaire de noter la constitution de l’Etat du Sénégal en tant que partie civile», a indiqué une source proche du dossier. Le Quotidien apprend, par ailleurs, qu’un pool d’avocats va défendre les intérêts du Sénégal.