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DAKARACTU.COM La récente sortie du Président Macky Sall dans le journal ‘’Le Monde’’ a pour le moins créé un effet collatéral, sous forme de déballage contre Cheikh Amar. Interpellé sur la récente sortie du Président qui assimilait une négociation dans le dossier de la traque des biens mal acquis à une insulte à la Justice, un proche de Me Wade a expliqué que le fait que leur mentor tente d’apaiser la tension sociale n’avait rien à voir avec des négociations.  
Mais notre question, sur la mission de bons offices du patron de TSE qui auraient abouti à cette accalmie, a eu le don de le mettre dans tous ses états. Très remonté contre Cheikh Amar, ce proche de notre Wade national s’est inscrit en faux contre de telles déclarations, allant même plus loin…peut-être même trop loin.
Publié dans PEOPLE

«Evoquer la possibilité d’un accord politique dans le cadre d’un dossier judiciaire, c’est faire insulte à la justice sénégalaise», c’est la réponse sèche que le président de la République, Macky Sall, a servi à l’envoyée spéciale du quotidien français Le Monde. Dans cette interview publiée hier, mardi 6 mai 2014, le Chef de l’Etat du Sénégal revient sur l’affaire Habré, la sécurité en Afrique ainsi que la montée du Jihadisme sur le continent. 

Publié dans La Une de la Presse

Aïda Ndiongue est encore attendue devant la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Le Quotidien a appris que les juges n’ont pu examiner, mercredi, le réquisitoire du procureur spécial parce que «le président de la Commission d’instruction n’était pas sur place». Elle devra donc y retourner «vendredi ou lundi prochains», apprend-on. Alioune Ndao avait reçu lundi les réponses de Mme Ndiongue à la mise en demeure qu’il lui avait servie. A l’arrivée, le procureur spécial n’a pas été convaincu par les justifications de la responsable libérale.

Publié dans PEOPLE
jeudi, 01 mai 2014 00:00

18 mois de prison pour Dolce & Gabbana

Les stylistes italiens Domenico Dolce et Stefano Gabbana, poursuivis pour fraude fiscale estimée à quelque 200 millions d'euros, ont été condamnés mercredi par la cour d'appel de Milan à 18 mois de prison, ont annoncé les médias italiens.

Domenico Dolce, 55 ans, et Stefano Gabbana, 51 ans, ont été reconnus coupables d'escroquerie aux dépens de l'Etat italien et pour des inexactitudes dans leurs déclarations de revenus.

En première instance, en juin 2013, les deux créateurs de la marque de vêtements et d'accessoires de luxe Dolce & Gabbana, d'origine sicilienne, avaient été condamnés à un an et huit mois de prison pour une fraude fiscale estimée à près d'un milliard d'euros.

Publié dans PEOPLE

DAKARACTU.COM - Par l'entremise de Me M'baye Jacques N'diaye, le pool des conseils de l'ex sénatrice a donc déposé hier une missive en guise de réponse à la mise en demeure récemment servie par la Crei à l'ex mairesse des HLM. Une lettre adressée au Procureur Spécial Près la Cour de Répression de l'enrichissement illicite.  
Dès l'entame de cette missive, Astou N'diongue (à l'état civil), a tenu à soulever deux exceptions de nullité : d'une part, elle trouve " incompétente ladite Cour ", et d'autre part, celle qui est surnommée Aïda N'diongue déplore " l'illégalité des nouvelles poursuites à son encontre."

Publié dans PEOPLE

Wade perd 50 millions FCfa, son retour encore incertain

L'OBS - Il faut beaucoup de «baraka» au Parti démocratique sénégalais (Pds) pour accueillir Me Wade cet après-midi. Quelques écueils se dressent sur le chemin du retour.

Un autre jour s’annonce pour le Parti démocratique sénégalais (Pds) et son Secrétaire général. Me Abdoulaye Wade, après un premier retour avorté, avant-hier mercredi, devrait rejoindre Dakar, cet après-midi, à 15 heures précises (Gmt). Sauf encore un changement de dernière minute, l’ancien chef de l’Etat sénégalais sera accueilli par les militants de son parti. Seulement, le déplacement de Me Wade a déjà coûté très cher. 

Publié dans News

iGFM (Dakar) C’était sur radio Xalima le 31 juillet 2005, sa première interview web radio. Souleymane Jules Diop, ancien conseiller en communication de l’ancien Premier ministre prenait non seulement la défense de son mentor, mais le peignait sous les traits d’un saint. « Il est juste ». « Il est blanc comme neige ». « Il apporte la lumière` ». Et aujourd’hui, c’est Souleymane Jules Diop, conseiller en communication de Macky Sall qui accuse Idrissa Seck de voleur. Ecoutez 

Publié dans News

Les avocats de Karim Wade et Cie ont du grain à moudre. Ils devront dès maintenant s’atteler à démêler les écheveaux de l’Accusation pour tirer d’affaire leurs clients qui sont renvoyés devant la Crei pour jugement par la commission d’instruction de cette juridiction spéciale. Celle-ci vise dans ses accusations contre les prévenus la somme de plus 117 milliards de francs.

Le feuilleton judiciaire que constitue l’affaire Karim Wade et Cie entame une nouvelle saison. Depuis hier, en effet, le traitement de ce dossier a pris une nouvelle tournure. Puisque la commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), présidée par le juge Cheikh Tidiane Bèye, n’a pas vraiment traîné en chemin pour ordonner le renvoi des inculpés Karim Meïssa Wade, Mbaye Ndiaye, Mamadou Pouye, Pierre Agboba, Ibrahima Khalil Bourgi et son frère, devant la juridiction spéciale pour leur jugement qui, renseigne-t-on, va intervenir dans deux mois. 

Publié dans La Une de la Presse
vendredi, 18 avril 2014 00:00

Chasseur de primes

L’avocat franco-libanais, obsédé par la Françafrique, a encore une fois décidé de revêtir sa tunique de Nessus. Mais cette fois, ce n’est pas pour revenir sur les «mallettes de la République» dont le but savamment orchestré était d’écarter un certain Dominique De Villepin de la course à la présidentielle française de 2012 et d’enfoncer Jacques Chirac. 

Ce n’est pas non plus pour revenir sur les accusations jugées «calomnieuses» et «mensongères» contre cinq chefs d’État africains, Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Laurent Gbagbo (Côte d'Ivoire), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville) et Feu Omar Bongo (Gabon) pour avoir versé environ 10 millions de dollars pour la campagne de Chirac de 2002. Mais, c’est plutôt pour demander la libération de Karim Wade. 
Publié dans News

Karim Wade ira finalement en procès dans maximum deux mois pour justifier le patrimoine qu’on lui attribue. La Crei rendra publique aujourd’hui cette décision. Celle-ci à tout l’air d’un échec pour tous ceux qui, depuis longtemps, s’agitent pour la libération du fils de l’ancien président de la République. Ils ont ces derniers jours, semaines ou mois, posé un certain nombre d’actes qui convergent vers la libération du «prisonnier de luxe ». Le procès annoncé est loin d’entamer leur ardeur : « ils ne lâcheront pas le morceau », pour parler de manière triviale.  

Publié dans La Une de la Presse