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CREI - Découverte de nouveaux éléments : Karim, un «dragon» à Singapour
Singapour livre Karim Wade à quelques jours de la décision de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite. Ainsi pourrait-on résumer les éléments nouveaux en possession de la Crei qui les a notifiés aussi aux avocats de l’ancien ministre. Il en ressort que M. Wade dispose d’un compte ouvert dans une banque de la Ville-Etat, un des 4 «Dragons» d’Asie, en 2011 et dont le solde était au 26 avril 2013 de plus de 45 milliards de francs Cfa.
C’est le monde qui s’effondre sur Karim Wade. A moins de 24 heures de la fin de l’instruction de son dossier et à moins de 72 heures de la décision de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), de nouveaux éléments font leur apparition. Le Quotidien a appris de sources proches de la juridiction spéciale que les résultats de la coopération judiciaire internationale sont loin d’être légers.
CREI - La défense a trois jours pour consulter le dossier d’accusation : Compte à rebours pour Karim
Trois jours. C’est le temps que la Commission d’instruction de la Crei donne aux avocats de Karim Wade pour consulter le dossier de leur client avant la clôture de l’instruction. Et d’ici le 17 avril, l’ancien ministre d’Etat connaîtra son sort : un non-lieu ou un renvoi devant la Cour.
C’est le compte à rebours pour Karim Wade.
Karim Wade aux juges de la Crei-«Je ne réponds à aucune de vos questions»
iGFM (Dakar) «Je ne réponds à aucune de vos questions, et ne peux participer à une parodie de justice», a dit Karim Wade vaux juges de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), si l’on en croit une déclaration publiée par ses proches. Et c’est le journal quotidien qui rapporte l’information. Le fils du Président Wade et ancien ministre se considère comme «un otage politique des nouvelles autorités sénégalaises» qui, selon lui, souhaitent l’empêcher de se présenter à la prochaine élection présidentielle.
CREI - L’ex-sénatrice libérale mise en demeure : 30 jours chrono pour Aïda
Le procureur spécial Alioune Ndao a finalement servi à Aïda Ndiongue une mise en demeure. La Libérale a un mois pour justifier un patrimoine de plus de 41 milliards à lui reproché.
Aïda Ndiongue est passée hier à la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour «récupérer» sa mise en demeure. Alioune Ndao doute, en effet, de la licéité de l’origine des 41 milliards 140 millions 158 mille 846 F Cfa de l’ex-sénatrice libérale. Mme Ndiongue a donc un mois, comme le dispose la loi portant création de la Crei, pour justifier ce patrimoine.
CREI - Le fils de Wade introduit une demande de liberté provisoire : L’arme de Krim
Au dernier tournant vers son procès, Karim Wade demande sa libération provisoire, dénonce sa «détention arbitraire» ainsi que la «violation» de ses droits par l’Etat et la Crei.
Karim Wade tente le coup de force, une pirouette juridique qui vise en plein dans le mille l’engrenage dans lequel il est pris. Des sources proches de l’affaire révèlent que l’ancien ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures a introduit une demande de liberté provisoire. Mieux, Karim Wade réclame tout bonnement sa «libération d’office». Pour lui, il est victime d’une «détention arbitraire».
Évacuation de Bibo Bourgi en France la défense s'en remet à…Macky
La demande d'évacuation pour raisons médicales, en France, de Bibo Bourgi rejetée par la Crei, les avocats conseils du présumé témoin-clé dans l'affaire Karim Wade ont fini par solliciter l'arbitrage du Chef de l'Etat Macky Sall pour permettre à leur client d'aller se faire soigner hors du Sénégal. En conférence de presse tenue, ce samedi 23 août, ils ont en effet lancé un magistral SOS au chef de l'Exécutif, tout en exigeant le renvoi du procès de Karim Wade.
Recours de Karim Wade contre sa condamnation par la crei la cour suprême diffère sa décision, au 20 aout prochain
La Cour suprême a mis hier, jeudi, en délibéré jusqu’au 20 août prochain les sept recours déposés par Karim Wade et codétenus condamnés par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). L’audience s’est déroulée sous une forte présence policière en présence de plusieurs militants libéraux.