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Dim, Mai

Abdoulaye Wade et ses frères de parti ont décidé de surseoir à leur meeting de demain à la place de l’Obélisque. L’appel du khalife des mourides au pape du Sopi, disent les Libéraux, les a poussés à agir de la sorte. En attendant, le Pds ne prévoit pas de plan B pour suppléer Karim Wade, investi comme candidat dudit parti pour la prochaine Présidentielle et emprisonné pour enrichissement illicite. En ce sens, Me Abdoulaye Wade et Cie menacent de boycotter ou d’empêcher l’organisation de cette élection.

Les peines de prison prononcées à l’encontre de Karim Wade et Cie ont éclipsé la manne colossale que ces derniers doivent à l’Etat. En effet, ils doivent la rondelette somme de 1000 milliards au trésor. Mais, pas d’exultation avant l’heure.

La Cour de répression de l’enrichissement illicite a rendu sa décision finale sur le procès de Karim Wade et Cie. Henry Grégoire Diop et ses assesseurs n’y sont pas allés de main morte. Ils ont infligé à l’ancien président du Conseil de surveillance de l’Anoci 06 ans de prison et une amende de 138 milliards. A l’exception de Mbaye Ndiaye et de Pierre Agboba, ses co-accusés sont passés à la trappe avec des peines diverses allant de 10 à 05 ans de prison. 

  Une riposte se prépare dans les rangs des douze membres de l’Alliance des forces de progrès (Afp) exclus le vendredi dernier par le Comité ad hoc de ladite formation. Les exclus qui considèrent la mesure «arbitraire» vont se retrouver dans les prochaines heures pour réfléchir sur la conduite à tenir. La perspective judiciaire n’est pas à exclure, selon des sources proches du dossier.  

  «La lutte continue! Ne désistez pas, armez-vous de courage. J’appelle tout le monde : jeunes, vieux, filles, garçons, militants et sympathisants à venir au rassemblement du vendredi prochain à la place de l’Obélisque. Là, mes collaborateurs et moi allions vous dire comment lutter contre Macky Sall, sa famille et son parti», a dit Me Abdoulaye Wade du haut du balcon du domicile de Me Madiké Niang sis à Fann, où il loge. Mais auparavant, l’ancien Président a tenu à remercier tout ce beau monde acquis à sa cause d’ici et d’ailleurs.  

A quelques heures du prononcé du délibéré de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) sur l’affaire concernant Karim Meissa Wade, le Sénégal retient son souffle. Tout le pays vit à l’heure du procès Karim qui connaîtra son épilogue ce lundi 23 mars.

Les états majors politiques se confondent en communiqués de soutien au parti présidentiel, l’Alliance pour la République (Apr) et à celui du père du détenu le plus célèbre du pays, le Parti démocratique sénégalais.

Leral.net tient de sources sûres que l'avocat Amadou Sall a été convoqué par la Section de recherches de la Gendarmerie de Colobane. En cause, les propos qu'il a tenu sur Macky Sall lors d'une manifestations dimanche à Guédiawaye.

“Macky Sall est un peureux. Il est incompétent, incapable et impuissant. Il n'a pas de projet de société. C'est par pur hasard qu'il est devenu chef de l'Etat. Pour lui, la seule chose qu'il doit faire, c'est d'emprisonner Karim Wade. Nous ferons face à lui. Que tout un chacun sort son bâton, gourdin, cuillère, pilon...pour la résistance. 

 

iGFM – (Dakar)La candidature du fils de l’ancien président de la République Abdoulaye Wade est passée comme » lettre à la poste » lors de l’élection du candidat du parti démocratique Sénégalais à la présidentielle de 2017. Karim Maissa Wade a obtenu 257 sur un total de 268 votants. 

Sans sans grande surprise le fils de Abdoulaye Wade a remporté la majorité des voix dans un scrutin qui l’opposait à des candidats que l’on ne peut pas qualifier de « sérieux » dans la mesure où la plupart des délégués qui devaient voter venaient d’entendre pour la première fois leurs noms. Il s’agit de, Doudou Dieng,  Amadou Kane Dialla Amadou Mountaga Gueye, Ahmadou Seydi.

  Dans une déclaration en date de ce 11 mars, Yoonu Askan Wi note que la situation nationale est que jamais marquée par un certain regain de tension. La principale raison réside, selon Madièye Mbodji et cie, dans le fait que la rupture n’est  pas opérée. « Certains engagements importants, pris devant le peuple, tardent à être concrétisés, comme c’est le cas de la réforme des institutions dans l’optique de la refondation de la République préconisée par les Assises nationales et la Cnri ».  

L’OBS – «En faisant condamner Karim, Macky a eu ce qu’il souhaitait, mais cela ne va pas le sauver»

«Je remercie tous les militants, militantes et sympathisants pour leur mobilisation sans pareille au palais de justice de Dakar, aujourd’hui (hier). L’intimidation de la Police et les multiples barrières érigées çà et là ne vous ont pas échaudés. Certains parmi vous ont quitté des contrées lointaines pour venir soutenir Karim. Je les en remercie. Ce jour restera gravé dans les annales du Sénégal. C’est cela que Macky Sall souhaitait. Il a donné des ordres pour qu’on condamne Karim. Mais cela ne va pas le sauver.

Au cours de la session ordinaire unique portant sur le projet de loi N°03/2015 modifiant certaines dispositions du code général des impôts tenue ce vendredi, le député El Hadj Diouf a félicité le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan « qui est du monde des Impôts ». 
Mais, dira-t- il : «Trop d’impôt tue l’impôt ; et il y a des secteurs qui nécessitent des mesures exceptionnelles, une discrimination positive tel que le tourisme». « Nous avons la chance d’avoir toujours les meilleurs ministres des Finances d’Afrique, on a eu Abdoulaye Diop ici et aujourd’hui c’est le tour du ministre Amadou Ba, le Sénégal peut se vanter d’avoir de hauts cadres dans tous les domaines ; c’est le pays de Senghor! », s’est réjoui le député. 

L’héroïsme d’un homme se mesure à son engagement à réaliser ses projets de vie. Un engagement, nécessitant une détermination, des actes réfléchis pour maîtriser son périmètre d’intervention. La vie étant un terrain de confrontation, exige plusieurs arcs au cou pour un homme audacieux qui veut braver les réalités du destin. Comme le dit un adage, «ce n’est pas celui qui revient vainqueur d’une guerre, mais celui qui triomphe sur ses propres désirs et passions». Le Maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, à qui, il est prêté des ambitions présidentielles, semble bien s’inscrire dans cette dynamique. 

L’ancien maire de Bambey ne partage pas la démarche d’urgence empruntée par son leader, Me Abdoulaye Wade, pour choisir le candidat de son parti pour 2017. Dans sa manière de rejeter cet agenda, Aïda Mbodj ne s’est pas souciée de la courtoisie et ce, à quelques heures d’une audience avec son mentor.

Sponsorisée et supervisée par le Libéral en chef, l’opération en cours devrait aboutir ce 20 mars à la désignation du candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds) à l’élection présidentielle de 2017. Un éventuel choix porté sur Karim Wade, dont les juges de la Crei devront statuer sur le sort 72h après ces «Primaires», alimente les suspicions.

Pr-Ibrahima-Fall

iGFM – (Dakar) Le parti du professeur Ibrahima Fall n’est pas resté silencieux en face de la tourmente qui a pris ces derniers les Sénégalais avec le délibéré du procès de Karim Wade; très critique, il dit ses vérités et met tout le monde devant ses propres responsabilités.

Considérant que les libéraux ont habitué les Sénégalais à l’installation du pays dans une « ambiance délétère » pour « régler des problèmes crypto-personnels », Taxaw Temm rappelle le conflit entre Abdoulaye Wade et Idrissa Seck sur le fils légitime, celui entre Wade et Macky Sall sur l’audit des travaux de l’ANOCI, et celui entre Macky et Idrissa sur « une histoire » de 7 milliards.

Me El Hadji Amadou Sall a été placé hier, sous mandat de dépôt pour offense au chef de l’Etat et atteinte à la sûreté de l’Etat. Il tombe sous le coup de l’article 80 pour une deuxième fois.

Me El Hadji Amadou Sall passe sa première nuit à Rebeuss. Le responsable libéral a été placé hier, sous mandat de dépôt pour offense au chef de l’Etat et atteinte à la sûreté de l’Etat par la chambre d’accusation de la Cour d’appel. Ce, pour le privilège lié à son statut d’avocat. Il va comparaître dans les prochains jours pour les mêmes faits. 

L’ambassadeur de la France au Sénégal s’étonnerait que Karim Wade obtienne un non-lieu le 23 mars au vu du déroulement du procès. Jean Félix Paganon qui était à Grand jury hier s’est dit «attristé» par les propos de Wade contre Macky Sall et qualifie de «grave» l’appel de l’ancien Président à l’Armée.

L’ambassadeur de la France au Sénégal semble bien s’intéresser au sort de Karim Wade. Le verdict de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est attendu le 23 mars prochain. Invité de l’émission Grand jury de la Rfm hier, Jean Félix Paganon répond à la question suivante : «Au regard du déroulement du procès, une condamnation de Karim Wade ne vous étonnerait pas ?»

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